La plongée sous-marine avec des requins, des coraux colorés et l’apprentissage des traditions de pêche artisanale et des stratégies de conservation des océans faisait autrefois partie de ma vie en tant que biologiste marin.
«C’était incroyable de vivre dans des destinations tropicales comme la Barbade, le Panama, les Philippines, le Brésil et enfin la Californie où j’ai vécu mon rêve d’être biologiste marin. Malgré la faible rémunération, j’étais amoureux des tâches quotidiennes et des exigences de ce travail – en particulier de ces sessions de surf au coucher du soleil »
Ce n’est qu’un jour que je suis tombé sur une opportunité d’expédition unique dans un article sur les réseaux sociaux. Je l’ai trouvé assez excitante et atypique, même pour une citadine née au Canada devenue surfeuse et amoureuse des plages. Cela s’appelait eXXpedition et l’objectif était que toutes les navigatrices fassent voir l’invisible – « des toxiques dans notre corps aux toxiques dans nos mers ». Intéressant et palpitant, je pensais.
Quelques semaines après avoir postulé pour l’un des prochains voyages, j’ai reçu un e-mail. C’était une lettre d’invitation. Incroyable! Puis j’ai vu le coût du voyage – 8 000 livres sterling… Il fallait trouver un moyen de lever ces fonds!
Quelques mois plus tard, après des semaines de financement participatif, des ventes aux enchères avec des articles écologiques provenant d’entreprises comme Klean Kanteen, Bee’s Wrap et Chico Bag, et quelques projections documentaires – j’ai collecté les 10 000 USD nécessaires pour naviguer du Brésil à la Guyane pour 21 jours.
L’expérience a changé ma vie. Je suis retournée aux États-Unis et j’ai réalisé que même mon travail de recherche sur la conservation des océans dépendait excessivement des plastiques à usage unique. C’était assez!
Une fois que vous voyez les dommages et la présence de la pollution plastique dans des endroits où il n’y a pas de vie humaines sur des kilomètres et des kilomètres, vous ne pouvez plus fermer les yeux. Je devais faire quelque chose de pertinent. C’est là que j’ai imaginé la solution d’une station de recharge d’eau extérieure qui s’appelle aujourd’hui O’land Station.
La pollution plastique n’est plus un mystère pour notre société. On la trouve dans tous les coins du monde, dans l’océan, les lacs, l’air et même dans notre corps. Nous devons réduire considérablement le besoin d’articles en plastique à usage unique pour résoudre ce problème de déchets, les décharges débordantes et les promesses de recyclage non tenues.
De tous les plastiques produits depuis les années 50, seulement 9% ont été recyclés. Des solutions alternatives sont nécessaires de toute urgence pour nous aider à faire la transition vers de meilleures pratiques et de meilleurs comportements. Je travaille également aux côtés d’un incroyable organisme à but non lucratif basé à Los Angeles, en Californie, appelé The 5 Gyres Institute – un de premiers instituts à mener des recherches et militer depuis 10 ans pour mettre fin à la crise mondiale de la pollution plastique.
Voilà brièvement mon histoire et pourquoi j’ai fondé O’land Station.
J’espère que cela aidera à expliquer pourquoi j’ai choisi de collaborer avec Cupko lors d’événements. Imaginez, une station d’eau jumelée à des verres et des bouteilles réutilisables à votre disposition… Nous éliminerions une quantité imposantes de déchets inutiles! Impressionnant, non!
Restez connectés et je vous souhaite pour un bel été propres et “verre”
Rachel